Portrait : deux assistantes de service social, Annick Voglevette et Catherine Grignon

Après 20 années d’activité, Annick VOGLEVETTE a souhaité partager son temps de travail avec une collègue afin d’actualiser les méthodes de travail et les moyens informatiques. Catherine Grignon, en poste depuis mars 2016, travaille à la mise en place d’outils informatiques. L’objectif est de moderniser le poste et faciliter le suivi social des situations rencontrées.

« Notre mission est d’assurer un accueil et une aide sociale aux boursiers, à leur famille ainsi qu’aux veufs et veuves afin que chacun d’entre eux puisse faire face aux répercussions de la disparition d’un membre de leur famille Militaire ou Civil de la Marine.

Depuis septembre, notre action majeure consiste à étudier les dossiers de demande de bourse du secteur de BREST. Notamment ceux des étudiants qui restent boursiers jusqu’à la fin de leur cursus scolaire ou universitaire, quel que soit leur âge.

A la demande des familles, nous pouvons les recevoir en entretien.Le bureau, mis à notre disposition par le Pôle Défense Accueil, rue Fonferrier à BREST, nous permet, outre une collaboration quotidienne avec les assistantes de service social du ministère de la Défense, un accueil dans les meilleures conditions.

L’analyse des situations sociales et l’évaluation des besoins peuvent nous conduire à solliciter le siège pour accorder un secours ou un prêt qui complètent le dispositif d’aides sociales mis en place par l’ADOSM.

Notre connaissance du milieu militaire et des structures sociales de la Région Brestoise nous permettent de répondre aux besoins des familles par une information sur l’accès aux droits et dispositifs sociaux ou une orientation vers les services adaptés à chaque situation (milieu médical, associatif ou autre).

Nous nous tenons au courant de la législation, des différentes filières universitaires et des forums existants sur le territoire. L’actualisation de notre documentation est essentielle pour répondre aux mieux aux situations concrètes que nous rencontrons.

Au fil du temps la confiance s’établit et des liens se créent. Certaines familles nous contactent régulièrement et nous font part de leur attachement à l’ADOSM pour son précieux soutien. »